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Dans cette installation, je voulais que la peinture soit un couloir qui semble ne jamais s'arrêter, où les tableaux se mélangent doucement entre eux. Mais malheureusement ils se sont séparés en espaces différents qui enferment des aspect de mon être. Il y a une séparation flagrante entre "Tlanepantla" et le reste. C'est reflet de ce qui s'est passé en moi.
Avant, je ne voulais pas faire ça. Maintenant il y a un début et une fin, c'est un territoire où la communication est frontale.
Je voulais être dans une extase intérieur partagée, mais pour ça il a fallu passer par la hache qui sert à couper les bûches qui servirons à faire du feu. Beaucoup de gens on peur de se livrer à cette violence, il l'associent à la dépression. Pas moi. Ces peintures sont une façon de montrer ça.